Dramaturge et acteur
Romancier
Écrivaine et poète
Joueuse de volleyball
Naturaliste et géographe italo-péruvien
Chanteur et percussionniste
Dernier empereur inca
Femme politique, ex première Ministre
Journaliste et animateur de télévision
Poète
Guerrier inca
Acteur et comédien
Biophysicien
Poète
Médecin et chercheur
Homme d’affaires, groupe Interbank
Journaliste et écrivain
Poète et écrivain
Chanteuse et compositrice
Écrivain
Réalisatrice, lauréate de l'Ours d'or
Footballeur
Écrivaine et journaliste
Médecin et scientifique
Photographe
Joueuse d’échecs
Industriel
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Médecin spécialiste en santé publique
Actrice et chanteuse
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Mathématicien et ingénieur
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Neurologue et anthropologue
Artiste peintre
Footballeur
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Créateur de mode
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Chroniqueur indigène péruvien
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Économiste et ministre de la Santé
Princesse inca
Écrivain et animateur de télévision
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Poète et guérillero
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Footballeur
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Poète et artiste
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Romancier et ethnologue
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Ténor lyrique
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Femme politique
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Joueur de tennis
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Écrivain et politicien
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Fondateur du Sodalitium Christianae Vitae
Archéologue et anthropologue
Militaire et homme politique
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Écrivain, lauréat du prix Nobel de littérature, homme politique
Chef révolutionnaire
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Héros de la guerre du Pacifique
Militaire et homme politique
Chef cuisinier, reconnu pour sa cuisine nikkei
Entraîneuse et ancienne joueuse de volleyball
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Personnalité de la télévision
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Peintre
Ancien joueur de football
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Chef de la révolte indigène
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Ancien chef des services secrets
Chanteuse populaire
Styliste de mode
Chanteuse exotica
Luis Fernando Figari est né le 8 juillet 1947 à Lima, au Pérou. Il est connu pour avoir fondé le Sodalitium Christianae Vitae (SCV), un mouvement catholique fondé en 1971 dans le but de promouvoir une vie chrétienne centrée sur l’évangélisation et le service à la communauté. Bien que Figari ait gagné en reconnaissance au sein de l’Église catholique pour son travail religieux et social, sa figure est devenue controversée ces dernières années en raison de plaintes pour abus et mauvaise conduite au sein du mouvement qu’il a fondé.
En 1971, à l’âge de 24 ans, Luis Fernando Figari a fondé le Sodalitium Christianae Vitae à Lima, un mouvement au sein de l’Église catholique visant à former des jeunes à la foi chrétienne et à les préparer à l’apostolat. Inspiré par la spiritualité mariale et l’engagement envers l’évangélisation, le SCV s’est rapidement développé au Pérou et dans d’autres pays d’Amérique latine, attirant des centaines de jeunes dans ses rangs. En 1997, le mouvement a été officiellement reconnu comme Société de Vie Apostolique par le Vatican.
Sous la direction de Figari, le Sodalitium Christianae Vitae s’est rapidement étendu et a établi des communautés dans plusieurs pays d’Amérique latine, ainsi qu’aux États-Unis et en Italie. Le mouvement se concentrait sur l’évangélisation, la formation spirituelle et le travail communautaire, avec une forte insistance sur la discipline et l’obéissance. Figari est devenu une figure influente au sein de l’Église catholique au Pérou, participant à diverses initiatives éducatives et sociales promues par le SCV.
À partir des années 2010, Luis Fernando Figari et le Sodalitium Christianae Vitae ont été impliqués dans plusieurs controverses. D’anciens membres du mouvement ont commencé à dénoncer des abus psychologiques, physiques et sexuels de la part de Figari et d’autres dirigeants du SCV. Ces accusations ont provoqué un scandale tant au Pérou qu’à l’international, et en 2015, le Vatican a ordonné une enquête interne sur le mouvement. À la suite de cela, Figari a été écarté de la direction du SCV et tout contact avec les membres du mouvement lui a été interdit.
En 2017, le Vatican a conclu son enquête sur les accusations portées contre Luis Fernando Figari et le Sodalitium Christianae Vitae. Figari a été reconnu coupable de plusieurs charges d’abus, et il a été contraint de se retirer de la vie publique. Malgré les actions du Vatican, les critiques envers le SCV et l’Église catholique en général concernant la gestion des plaintes ont persisté. Figari s’est retiré en Italie, où il a maintenu un profil bas depuis.
L’héritage de Luis Fernando Figari est profondément controversé. Si certains de ses partisans le rappellent pour son dévouement à l’évangélisation et à la création d’un mouvement catholique influent, beaucoup d’autres le critiquent pour les abus commis sous sa direction. Malgré la chute de sa figure publique, le Sodalitium Christianae Vitae continue d’exister comme mouvement au sein de l’Église catholique, bien que sous une stricte supervision des autorités ecclésiastiques.
L’histoire de Luis Fernando Figari et du Sodalitium Christianae Vitae est un exemple de la manière dont une figure religieuse influente peut passer de l’admiration à la controverse. Bien que Figari ait été un leader respecté au sein de l’Église catholique, les accusations d’abus ont laissé une marque indélébile sur son héritage. Son cas reflète également les difficultés rencontrées par l’Église dans le traitement des cas d’abus dans ses institutions et la nécessité d’une plus grande transparence et responsabilité.